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C’est la première fois qu’une alliance tripartite composée des socialistes, écologistes et libéraux dirige l’Allemagne. Malgré des projets ambitieux et innovants, les débuts de la coalition dite de feu tricolore sont placés sous le signe de la pandémie. Un vent de renouveau souffle sur la politique allemande à quelques jours de l’élection – une simple formalité – de Olaf Scholz au poste de chancelier par le Bundestag. Après des semaines de
La rengaine est tenace : la France compte trop de fonctionnaires (même l’État serait incapable de compter ses agents). L’historien Émilien Ruiz a donc enquêté… La campagne des présidentielles a commencé. Pour l’heure le sujet n’a pas encore été abordé mais il le sera très certainement, comme régulièrement depuis des décennies : le nombre de fonctionnaires. Comprendre leur « trop » grand nombre pour être plus précis. « De Saint-Just à Macron, en passant par Charles Maurras ou
… Mieux, tout s’explique. Pourfendeur des anachronismes et raccourcis, adepte de la nuance et de « la profondeur de champ », Marc Houver publie Moments clés de l’histoire européenne chez Indola Éditions. Servi par un plume raffinée et un graphisme plaisant, l’ouvrage offre aux lecteurs « un regard distancié » sur les faits et sur les hommes qui les tissent, les décousent ou les raccommodent, de Saint Augustin à Bobby Sands, du traité
Après 16 ans avec Angela Merkel à la Chancellerie, les élections générales allemandes étaient plus ouvertes que jamais. Suite à une campagne au cours de laquelle le rôle de favori a longtemps fluctué, le candidat socio-démocrate Olaf Scholz arrive finalement en tête. Une vague rouge qui déferle sur la Sarre, c’est l’image qui se profile après les élections législatives. Non seulement, le SPD a réussi à défendre son mandat direct dans la
Annegret Kramp-Karrenbauer (CDU) et Heiko Maas (SPD) : c’est à des milliers de kilomètres de Sarrebruck que risque bien de se jouer l’avenir politique de deux ministres fédéraux sarrois. Ils sont en pole position sur les listes de leurs partis respectifs pour les élections législatives et ont donc une place assurée au prochain Bundestag. Et pourtant la fin de campagne d’ici le 26 septembre s’annonce très compliquée aussi bien pour le socio-démocrate
Émile Erckmann et Alexandre Chatrian © Illustrations : Philippe Lorin Portrait par Vianney Huguenot En France, des dizaines de rues Erckmann-Chatrian et parfois cette question : au fait, c’est quoi le prénom du gus ? Pas si bête. Pendant quarante ans, ces deux Lorrains, Émile Erckmann et Alexandre Chatrian, ne font qu’un. Émile naît en 1822 à Phalsbourg, une ville qui l’inspirera toute sa vie. Alexandre apparaît quatre ans
La bataille pour les législatives de septembre est ouvert : en Sarre, les chrétiens-démocrates et les sociaux-démocrates serrent les rangs tandis que les partis d’opposition sont affaiblis par des querelles internes. C’est l’une des plus petites régions allemandes et pourtant celle qui compte avec Heiko Maas (SPD, Affaires étrangères), Annegret Kramp-Karrenbauer (CDU, Défense) et Peter Altmaier (CDU, Economie) le plus grand nombre de ministres au gouvernement fédéral. Et ces trois-là espèrent bien faire
Raymond et Henri Poincaré © Illustrations : Philippe Lorin Portrait par Vianney Huguenot Nous sommes en 1871, Henri Poincaré, 17 ans au compteur, ramasse deux titres de bachelier au lycée impérial de Nancy, en sciences et en lettres. Germe, la même année, la germanophobie de Raymond Poincaré, son cousin meusien, 11 ans, expédié en Normandie pour cause de guerre et d’occupation de Bar-le-Duc par les Prussiens. De retour en Meuse, le jeune
Un an après Police, revoilà Anne Fontaine aux commandes d’un nouveau film : Présidents. Une comédie cette fois, où la réalisatrice a fait appel à Jean Dujardin et Grégory Gadebois pour incarner deux ex-présidents inspirés de Nicolas Sarkozy et François Hollande. Et vous savez quoi, ces deux-là vont faire cause commune. C’est l’avantage avec le cinéma : il peut tout se permettre ! ll fallait oser, et le 7e art l’a fait. Ou plutôt Anne Fontaine,
Dossier par Fabrice Barbian « Quoi qu’il en coûte ». Le Président Macron l’a répété à l’envi, depuis mars 2020, la crise nécessitant, à ses yeux, de tout faire pour sauver les entreprises et les salariés. Des milliards ont ainsi été déversés et injectés dans l’économie nationale. D’autres le seront encore cette année et l’an prochain. Mais il va aussi falloir songer à rembourser la dette de la France qui atteint désormais 2.700